2 femmes accusées du système de coupons Stop & Shop

Deux femmes ont été accusées d'avoir fabriqué de faux coupons de haute qualité pour voler plus de 25 000 $ de produits dans les magasins Stop & Shop du Massachusetts et du Rhode Island cette année, ont annoncé les procureurs mardi.

Les résidents de Taunton, Jacqueline White, 41 ans, et Crystal Travis, 40 ans, font tous deux face à des accusations de vol devant le grand jury pour le stratagème présumé entre mars et juin, selon le bureau du procureur du comté de Plymouth. White a également été inculpé de vol organisé au détail.

Les femmes ont acheté pour environ 26 547 $ de produits comme du savon et des produits de lessive en gros et ont utilisé « des coupons contrefaits de haute qualité contenant des codes-barres et des graphiques qui reflétaient des coupons légitimes de tiers » pour réduire considérablement le coût, ont déclaré les procureurs dans un communiqué de presse. Ils revendaient ensuite les produits en ligne, principalement sur Facebook, à un prix très réduit.

Le 10 mars, lorsque le stratagème a débuté, ils ont utilisé les faux coupons pour payer 3,28 dollars sur 1 658,28 dollars de produits, notamment des boissons, du savon et du détergent à lessive, soit 366 articles au total, ont indiqué les procureurs. Ils auraient fait leurs achats dans des Stop & Shops de 13 communautés du Massachusetts, dont Quincy, Weymouth, Brockton et New Bedford, ainsi qu'East Providence et Pawtucket, Rhode Island.

Entre le 10 mars et le 2 juin, ont déclaré les procureurs, White et Travis ont acheté :

Ils ont été arrêtés après que le Coupon Information Center, une organisation à but non lucratif de lutte contre la fraude aux coupons en Floride, a déclaré à White qu'ils l'avaient identifiée "comme une personne associée à des activités illégales de coupons contrefaits et qu'elle devait cesser ses activités", ont déclaré les procureurs, mais elle aurait poursuivi le stratagème. .

La police de Hingham et d'Abington a mené l'enquête, a indiqué la police.

White et Travis devaient être traduits en justice devant la Cour supérieure de Brockton. Il n'était pas immédiatement clair s'ils avaient des avocats capables de parler des accusations.